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يونيوLa sale vérité sur Une Truffes Noires
Découvrez cette recette de Truffes au chocolat noir et whisky expliquée par nos chefs. Un repas préparé par les chefs étoilés du Gard qui associera les vignerons et les trufficulteurs pour un repas gastronomique 100% truffé, de la mise en bouche au dessert. « Il est délicieux, ce parc, en cette saison ; j’y ai passé un moment très agréable ; je me sentais pris par une rêverie très douce, j’étais comme sous l’influence d’un de ces fins parfums d’Orient, parfums des dieux, qui vous font passer par les rêves les plus extraordinaires… Pour le moment, il était tout à fait entiché d’un rez-de-chaussée. Quelques pas plus loin, je m’assis un moment, admirant la pose gracieuse de cette dame qui, toute à sa lecture, ne voyait rien de ce qui se passait à ses côtés ; puis je m’éloignai un peu pour m’asseoir au soleil. Je me trouvais bien à cette place ; le soleil filtrant entre les branches, me frappait juste sur les jambes, cette belle verdure fraîche me faisait du bien aux yeux ; j’entendais craquer les bourgeons au-dessus de ma tête, faisant un bruit semblable aux grosses gouttes de pluie lorsqu’elles tombent sur les feuilles. Pour des êtres encore tout imprégnés du bon soleil du Midi, que nous venions de quitter, cet appartement, que mon maître avait pourtant si bien aménagé, semblait trop étroit, trop chaud, surtout trop peu aéré
ORLÉANS (Comté, vicomte, et duché d'). Le comté fut une première fois et momentanément réuni au domaine par le mariage de Charles le Chauve avec Ermentrude, fille d'Eudes, comte d'Orléans; la vicomté fut donnée en 878 par Louis II le Bègue à Ingelger d'Anjou ; enfin le comté, devenu principauté indépendante à la fin du IXe s., passa aux ducs de France Eudes et Robert (qui devinrent rois en 888 et en 923), puis à Hugues le Grand et à Hugues Capet, qui se trouvèrent à la fois possesseurs du fief (duché de France) et de l'arrière-fief (comté d'Orléans) : ce fut là la base solide du domaine royal nouveau, et par suite du pouvoir royal. Le comté d'Orléans ne fut point séparé de la couronne sous les Capétiens directs; mais il le fut souvent depuis pour être donné en apanage : 1° Philippe VI l'érigea en duché en 1344 pour Philippe, son 4e fils, m. en 1375; 2° Charles V en donna le titre en 1392 à son 2e fils, Louis, dont le petit-fils (Louis XII) monta sur le trône en 1498, et réannexa Orléans au domaine ; 3° Louis XIII l'en détacha de rechef pour son frère Gaston, qui n'eut pas d'héritier mâle : 4° il passa alors au frère de Louis XIV, Philippe
Réfugiés en Égypte, ils ne s’y éteignirent qu’en 1538. L’Histoire des Abbassides a été écrite par Dozy, Leyde, 1846, en latin. La barre s’y fait sentir quelquefois jusqu'à 300 kil. 2000 kil. Tous les ans il sort de son lit et inonde ses bords : en avril et en juillet, ses eaux, s’étendent sur un espace de plus de 100 lieues. Les parties les plus intéressantes du livre sont peut-être celles qui prouvent combien l’opinion peut changer sur les faits et sur les personnes selon qu’on les regarde d’en bas ou d’un certain niveau social, combien les différences de condition établissent de différences entre les manières de considérer la vie. ROVERE, huict milles. Là, ils mirent leurs bahus sur de ces Zatte, qu’on appelloit flottes en Allemaigne, pour les conduire à Verone sur laditte riviere d’Adisse, pour un fleurin ; & j’eus la charge landemein de cette conduite. Vous ne méritez pas qu’on vous fasse un Guide. Ce n’est pas toujours le cas. Ses caractères romains ne sont pas moins estimés. GILIMER, dernier roi des Vandales en Afrique, descendant de Genséric, usurpa le trône en 530, après en avoir précipité le faible Hildéric, allié des Romains. N., à plus de 4000m de hauteur, et prend le nom de Gange dans le Gherouâl, après avoir reçu l’Alakananda à Devapraïaga (divin confluent) ; traverse les prov
A Orléans sont nés Dolet, Petau, Amelot de la Houssaye, Michel Le Vassor, Bongars, Pothier. Dans la guerre de 1870, Orléans fut prise par les Bavarois (11 oct.), reprise le 10 nov. 160 ; capit., Orléans. Mississipi, à 160 kil. Mexique, à 2000 kil. Chemin de fer; canal dit d’Orléans, qui joint le Loing à la Loire; long faubourg de 3 kil. Grand commerce par la Loire, le canal d'Orléans et le chemin de fer. Elle est le centre d'un vaste commerce : exportation de coton, tabac, café, sucre, peaux, grains, farines, porc salé, plomb; importation de soieries, vins, esprits, etc. Banque; industrie active : draps fins, couvertures et autres tissus de laine et de coton, calottes-tunis, chapeaux, dentelles; blanchisserie de cire, raffinerie de sucre, vinaigreries, teintureries, quincailleries, etc. ORLÉANAIS, prov. et grand gouvt de l’ancienne France, avait pour bornes au N. l’île de France ; au S. le Berry, la Touraine ; à l’O. ORLÉANS, Aureliani en latin (et plus anciennement Genabum, selon l'opinion vulgaire), ville de France, ch.-l. Dans les partages subséquents, le royaume d'Orléans ne fut plus nommé. Les Calvinistes s'étaient emparés d'Orléans en 1562 : le duc François de Guise vint l'assiéger l'année suivante et il allait la prendre quand il fut assassiné par Poltrot de Méré